Droit de réponse : PRINCE MOULAY HICHAM

Ayant pris connaissance de votre article intitulé « Mohamed VI et Abdallah II : destins parallèles » et publié sous la signature de François Soudan (Jeune Afrique/L’intelligent du 14 au 20 mars), j’aimerais faire le point à propos de certaines formulations qui ne me paraissent pas refléter la réalité de ma situation ni celle de mon pays.

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